Le 24 décembre au soir

Un grand nombre de sans-logis sont conviés le 24 décembre au soir à un dîner-culte de Noël à l’Eglise protestante-unie de Belleville, quelques rues plus haut que le métro Belleville, au 97 rue Julien Lacroix.

Avec les paroissiens de l’Eglise locale et les invités de la Mission, nous marquerons l’espérance de vivre, de manger, d’habiter ensemble une terre renouvelée par l’enfant de Noël, Jésus, le sans-logis né dans une étable.

La célébration commencera à partir de 19 heures et se vivra « à table » dans l’église. Le repas qui suivra sera son prolongement.

Chaque année, la Mission essaye de marquer cet événement pour que l’année soit aussi festive. C’est l’occasion de chanter ensemble, de réjouir nos cœurs, d’échanger quelques cadeaux, etc.

Un point de repère pour tous, où chacun peut se sentir invité, quelle que soit sa confession.

Si vous voulez nous rejoindre à cette belle fête et proposer votre aide, vous pouvez vous adresser auprès du secrétariat de l’église.

Un Dimanche Famille d’Eglise lors de Souccot le 13 octobre

Chaque année, pendant la fête des cabanes entre le 10 et le 19 octobre, nous accrochons des fruits à la structure de la cabane pendant le culte pour rendre grâce à Dieu.

Souccot ou la fête des Huttes est la troisième fête juive du calendrier, elle commémore la sortie d’Egypte du peuple hébreu.

Durant cette période, chacun est invité à se fabriquer une cabane et d’y séjourner un temps pour y cultiver une éthique de sobriété en mémoire de la période de désert (blog du théologien protestant Antoine Nouis).

 

Le culte est suivi par un repas Dimanche Famille d’Eglise : chacun apporte un bon plat à partager avec les frères et sœurs.

 

Le prochain Dimanche Famille d’Eglise aura lieu le dimanche 15 décembre 2019.

 

Retour du week-end d’église à Tigery le 7 et 8 septembre 2019

Chaque année, le week-end d’église est un moment fort pour notre communauté pour les temps de louange, de prière et d’enseignement qu’il apporte à chacun, ensemble en Eglise.

Cette année, le thème du week-end s’intitulait Croire sur Parole, fondés dans les Écritures. Notre invité était Jonathan Boulet, secrétaire général de l’Alliance biblique française.

Jonathan a présenté avec Williane Edel,  un nouveau programme de formation pour encourager les chrétiens à lire la Bible, une initiative de l’Alliance biblique française importée du Royaume- Uni et qui se déroulera dans les églises protestantes-unies de Belleville et du Marais.

Les enseignements de notre invité Jonathan Boulet

Quelques témoignages :

Voici quelques impressions de participants de tous les âges, qui venaient pour la première fois ou qui sont familiers du lieu depuis de nombreuses années :

« C’était la première fois que je venais à Tigery et j’ai décidé de dormir sous la tente pour être plus proche de la nature avec un tel cadre ! . J’ai mis à profit les temps de pause pour aller me balader dans le parc du Cénacle et discuter avec mes amis, on n’a pas forcément le temps de le faire le dimanche à l’église. Pendant l’après-midi, j’ai retenu de l’enseignement sur la Bible, le grand sondage en direct depuis nos smartphones où nos pratiques de lecture de la Bible étaient mises en valeur sur un Powerpoint. En tant que membre de l’équipe de louange, j’ai pu participer au moment musical le soir ainsi qu’à la veillée de prière dans la nuit. C’était un moment convivial et nous sommes ensuite allés chercher des glaces dans le village de Tigery après. Je reviendrai l’année prochaine !« 

Daniel A.

 

« Nous sommes venus en famille avec nos trois enfants, pour la première fois. C’était très convivial de retrouver des frères et sœurs, d’en rencontrer d’autres. Nos enfants se sont fait de nouveaux amis, ils ont été pris en charge pendant le week-end par des enfants plus âgés et des adultes. C’est l’apprentissage de la communion fraternelle à leur âge et cela se développe dimanche après dimanche, lors des repas de Dimanche Famille d’église par exemple. »

Aurélie

 

« C’était un week-end tout en simplicité où j’ai vécu de belles guérisons émotionnelles.« 

Anne-Camille

« Cette année, mes parents ne pouvaient pas venir. Alors je suis venue avec une de mes copines et sa maman, parce que j’aime retrouver les autres enfants de l’église pendant tout un week-end. »

Sarah

« Chaque weekend d’église a marqué  différentes étapes dans ma vie personnelle. Cette année, nous y sommes allés avec notre petit garçon qui se lance pour marcher dans les allées du Cénacle. J’ai aimé qu’il y ait différents ateliers de discussion  autour de la louange, le service aux enfants, l’évangélisation, l’intercession… C’était enrichissant de pouvoir écouter les idées des autres et de pouvoir partager les nôtres, pour construire, aller de l’avant. Même si les nuits sont courtes et les repas ne sont pas extraordinaires, c’est la communion fraternelle qui nous donne envie d’y retourner chaque année ! »

Anne-Gaëlle

« J’ai apprécié que le dimanche après le culte, le pasteur et le conseil presbytéral ouvrent le micro aux membres de la communauté pour recueillir leurs avis sur le déroulé des cultes  »

Michèle

 

La Bible de poche Parole de vie offerte aux participants du week-end.

 

 

Le jeudi après-midi au temple de Belleville

[vc_row][vc_column][vc_column_text]Chaque jeudi après-midi, nous ouvrons les grandes portes du temple de 13 heures à 17 heures.

Nous sommes une petite équipe de 4 à 5 personnes.  Parmi les équipiers, 2 se tiennent  sur le perron afin de distribuer de la littérature aux passants. Les autres sont dans le temple et prient.

Il est écrit dans notre église « DIEU EST AMOUR ». Mais les gens qui passent devant, dans la rue ne le savent pas.

Voici ce que Christine nous raconte :  Notre quartier a un besoin particulier de bénédictions. Chaque personne qui passe devant l’église et que nous rencontrons est assurée d’être bénie. Dieu nous a aimés avant que nous l’aimions. Nous sommes là pour manifester l’amour de Dieu envers chacun sans jugement. Pour cela le Saint Esprit nous guide à chaque instant !

Voici ce dont Victor témoigne : je porte en moi cette espérance que la vie sur terre peut être meilleure et je le pense aussi pour les autres. Je sais ce que Dieu m’a apporté, m’a donné et j’aimerais que mon prochain le sache et qu’à son tour il puisse espérer et venir enfin à Dieu.

Voici ce que Sylviane en dit : quelle joie de pouvoir témoigner de l’espérance que j’ai en Dieu. J’aime inviter les passants à réfléchir en les défiant à rechercher la Vérité. Nous avons l’occasion de prier pour les passants. Il est arrivé qu’une femme pleure sur mon épaule lorsque je priais pour ses fardeaux.

Voici ce que Jean-Louis nous rapporte : ayant entendus parler de Jésus Christ le fils du Dieu pendant les  portes ouvertes du jeudi quelques personnes viennent assister au culte du mardi soir ou du dimanche matin. Cela nous permet de voir  le fruit de nos prières et discussions avec les gens qui passent devant le temple et s’arrêtent pour boire un verre que nous leur proposons. C’est ainsi que la discussion s’engage pour leur parler de l’œuvre de Dieu pour leur vie .

Voici ce que Valentine a relevé lors des après-midi où elle était présente : je prie que Dieu se révèle aux passants. Il connaît les besoins de chacun. Je prie qu’Il intervienne dans les situations qui paraissent sans issue. Je prie pour les église qui vivent des persécutions. Nous avons le privilège en France de pouvoir vivre notre foi dans la liberté, ce n’est pas le cas dans certains pays.[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

Un cancer du sein guéri

En 2006, je suis licenciée et un an plus tard, j’apprends que je suis atteinte d’un cancer du sein .

Chimiothérapie et une radiothérapie durant deux ans, j’expérimente le soutien de Dieu. Après chaque chimio, je ne ressens presque aucune fatigue, pas de nausées qui l’accompagnent habituellement.

Lorsque je perds mes cheveux par poignées, le Seigneur me donne le don de parler en langues. Je n’ai pas prié spécialement pour cela.

Je continue les soins sans savoir si mon état évolue. Je constate que j’arrive à récupérer des forces malgré tout.

 

Un ami me parle d’une conférence de guérison à Lisieux

Je me suis toujours dit que si un jour je souffrais d’une grave maladie, je ferais ce pas de foi.

Dans la voiture qui m’y emmène, je lis sur le flyer de la conférence : « Si tu crois, tu verras la Gloire de Dieu. » J’allais vivre quelque chose de très particulier.

 

A la conférence, je m’avance pour recevoir la prière et là, rien ne se passe. 

Je passe tout l’après-midi à écouter des enseignements sur la guérison des malades. A la fin, un peu fatiguée, je m’assois au fond de la salle avec mon ami.

 

Un sixième prédicateur qui n’attire pas mon attention arrive sur l’estrade

Il commence à parler, puis s’arrête. Il reprend en disant : « Il y a une femme atteinte d’un cancer du sein gauche, assise complètement derrière, elle est guérie, elle peut faire des examens, voir des médecins, elle est guérie. » Je dis à mon ami : « Mais c’est moi ! ». Des pensées viennent se bousculer dans mon esprit : « Es-tu sûre que cette parole est pour toi ? Regarde, il y a des centaines de femmes ici qui peuvent être atteintes d’un cancer du sein. »

 

« Elle peut faire des examens, voir des médecins, elle est guérie »

Je retourne à l’hôpital pour la suite de mon traitement. Le médecin entre dans la chambre, consulte mon dossier et me dit : « Vous êtes guérie. D ’ habitude, on dit que le patient est en rémission, mais dans votre cas, vous êtes guérie ». Il me dit exactement ce que le prédicateur avait annoncé sur l’estrade quelques jours plus tôt. Je retourne à nouveau, faire des radios : « Voici la radio où apparaissent des micros-calcifications et celle d’ aujourd’hui sur laquelle il n’y a plus rien. ». Une nouvelle confirmation de la part du radiologue, cette fois.

Si vous souffrez d’une maladie grave, je vous encourage à assister aux  conférences de guérison qui s’organisent près chez vous (tout en continuant vos soins médicaux) . Le Seigneur peut répondre à votre prière, de façon miraculeuse. Oui, Dieu guérit encore de nos jours, rien ne Lui est impossible.

 

                                                                                                                 Carol

 

Un beau week-end d’Eglise à vivre à la rentrée

Chaque année, notre communauté se retrouve au Cénacle de Tigery pour  le week-end d’Eglise le 7 et 8 septembre 2019. C’est l’occasion de se ressourcer dans un cadre verdoyant, vivre un temps privilégié avec Dieu, seul et en Eglise.

Le week-end dure du samedi à 14h30 ( vous êtes cordialement invités à nous rejoindre à partir de midi avec votre pique-nique) au dimanche vers 14h après le culte et le déjeuner.

Cette année, notre invité sera Jonathan Boulet, secrétaire général de l’Alliance biblique française qui nous enseignera sur le thème Croire sur Parole, fondés dans les Écritures.

 

La participation financière au week-end est libre, il faut néanmoins verser 10€ au secrétariat avec la fiche d’inscription  pour mieux comptabiliser le nombre de participants.

N’oubliez pas d’apporter vos draps et serviettes de toilette.

Il n’y aura pas de culte au temple de Belleville le dimanche 8 septembre.

 

Communauté du Chemin neuf, Le Cénacle, 91250 Tigery.

Informations pratiques :

RER D direction Melun. Arrêt Boussy Saint Antoine à 25 minutes de la Gare de Lyon

Bus 91.01

Départ depuis la gare routière et RER de Brunoy le samedi à 12h, 13h et 14 heures.

direction Evry. Arrêt Le Clos

En voiture : A6 sortie 8 vers N104 direction Troyes – Sénart- Melun

Focus sur le kintsugi, la technique céramique qui sublime les fêlures

[vc_row][vc_column][vc_single_image image= »4042″ img_size= »large »][vc_single_image image= »4046″ img_size= »large »][vc_column_text]Le kintsugi (jointure d’or en japonais) est un art artisanal très ancien né entre le 14eme et le 15eme siècle au Japon.

L’empereur Shogun Ashikaga envoya en Chine un bol cassé pour le restaurer. Au retour, le bol fut réparé avec des agrafes métalliques. Déçus par le résultat, les artisans japonais  mirent en œuvre une méthode plus esthétique : le kintsugi.

Cette méthode de réparation des céramiques sublime les fêlures grâce à de délicates sutures à la feuille d’or.

La pièce retrouve ainsi une seconde vie et fait ainsi écho à notre humanité toujours en quête de perfection.

Cette technique permet de ne pas ignorer, effacer, camoufler les blessures mais bien au contraire de les prendre en compte et de les sublimer.

Ainsi réparé, l’objet acquiert une valeur in estimée.

Etant d’origine naturelle, les produits utilisés dans ce procédé permettent un usage alimentaire. La laque Urushi est une sève qui est récoltée sur un arbre puis raffiné et purifié de nombreuses fois par différents procédés selon les nécessités des différentes phases de réparation.

Cette restauration est une technique qui demande un mois de travail environ selon la forme de la pièce et sa cassure.

  1. Les pièces brisées sont nettoyées puis collées avec un mélange d’amidon de riz, farine de riz et laque.
  2. Les fissures sont ensuite rebouchées avec un mélange d’argile « temokou » terre cuite et de laque
  3. Une fois collées, nettoyées, les fissures comblées, une laque sera apposée plusieurs fois puis poncée.
  4. La dernière couche de laque est rouge, un mélange d’oxyde fer et de laque sur laquelle on saupoudre de l’or.

Le temps de séchage entre chaque étape diffère selon les variations climatiques.

[/vc_column_text][vc_empty_space][vc_single_image image= »4030″ img_size= »large »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_custom_heading text= »Entretien avec Yousra Kathofer, artiste céramiste »][vc_column_text]Comment un art japonais vieux de six siècles a conquis une française d’origine marocaine vivant à Paris?

« Déjà, je trouve que l’art du kintsugi, par ses gestes lents et répétitifs, s’apparente à la méditation. Puis, j’ai été très vite séduite car en tant que céramiste, je pouvais offrir une seconde vie à mes pièces brisées par inadvertance ou cassées pendant la cuisson.

Mais mon attirance pour cet art ne s’arrête pas là car c’est une métaphore de nos vies, de notre société, des chocs, des traumatismes vécus ou hérités. Le kintsugi me parle de la personne humaine avec son histoire, sa fragilité, ses fêlures et accidents de la vie.

C’est un procédé qui se rapproche du travail que peuvent entreprendre certains êtres conscients du besoin impérieux de guérir de ses blessures. Les cicatrices font partie de l’expérience de tout un chacun. Certaines cassures sont légères et visibles à l’œil nu, d’autres sont profondes et cachées.

Quand je répare un bol, une assiette, ou surtout un vase ou une sculpture, je me rends compte de l’ampleur du travail que nous devons accomplir sur nos vies, en sachant qu’il nous faut accepter de laisser apparaître nos blessures sans les cacher afin qu’ elles puissent être nettoyées et cautérisées.

Comme dans le kintsugi, il s’agit de rendre beau ce qui était cassé, ce qui était perçu comme sale, mauvais, indicible. Et en acceptant la guérison de nos souffrances, nous devenons plus forts.

Chaque être humain est unique, ses blessures le rendent unique, une fois libéré et restauré, il peut entrer dans la liberté d’accomplir sa destinée. Un bol, après restauration, prend de la valeur et est vendu plus cher. De même, une vie restaurée retrouve sa valeur, et nos blessures ainsi sublimées deviennent le témoin de notre vie passée ».[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

Broken, du brisement à la réparation. Ateliers d’artistes de Belleville : Tout doit apparaître. Exposition du vendredi 24 au lundi 27 mai de 14 heures à 20 heures. Entrée libre.

Contact presse : Eglise protestante-unie de Paris-Belleville contact@epubelleville.fr[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image= »3950″ img_size= »large »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][/vc_column][/vc_row]

Publié dans AAB

Tout doit apparaître, le temple de Belleville est un atelier d’artiste du 24 au 27 mai 2019

[vc_row][vc_column][vc_single_image image= »3950″ img_size= »large » alignment= »center »][vc_column_text]

« Mais nous portons ce trésor spirituel en nous comme en des vases d’argile, pour qu’il soit clair que cette puissance extraordinaire vient de Dieu et non de nous.  Nous sommes accablés de toutes sortes de souffrances, mais non écrasés ; inquiets, mais non désespérés ; persécutés, mais non abandonnés ; jetés à terre, mais non anéantis.  Nous portons sans cesse dans notre corps la mort de Jésus, afin que sa vie se manifeste aussi dans notre corps »

2 Corinthiens 4 verset 7 à 14

[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »3/4″][vc_column_text]

Le thème des ateliers d’artistes cette année est Tout doit apparaître.

Broken est une exposition transdisciplinaire (céramique, gravure et photographie) qui brise l’idée reçue qu’un parcours personnel est condamné par une cicatrice, une fêlure. Cette exposition proclame qu’avec le Christ la libération, la réparation rendent les œuvres de Dieu encore plus belles !

L’exposition réunira les céramiques kintsugi réalisées par Yousra Kathofer, les gravures de Noémie Pons et huit portraits en noir et blanc de personnes ayant vécu un parcours de libération par Alfredo Salazar.[/vc_column_text][vc_column_text]
Le kintsugi 
est un art japonais très ancien qui date du 14eme siècle. Cette méthode de réparation des céramiques sublime les fêlures grâce à de délicates sutures à la feuille d’or.  La pièce retrouve ainsi une seconde vie et fait ainsi écho à notre humanité toujours en quête de perfection.

Cette technique permet de ne pas ignorer, effacer, camoufler les blessures mais bien au contraire de les prendre en compte et de les sublimer. Ainsi réparé, l’objet acquiert une valeur inestimée.[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][vc_column width= »1/4″][vc_empty_space][vc_empty_space][vc_images_carousel images= »3998,3997,3999,3951″ img_size= »medium »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »3/4″][vc_single_image image= »4025″ img_size= »large » add_caption= »yes »][vc_column_text]

Un temple protestant du 19eme siècle, galerie d’exposition le temps d’un week-end.

Les ateliers d’artistes de Belleville fêtent leur trente ans cette année et l’ Eglise de Belleville participa dès les débuts comme lieu d’exposition. Participer à cette manifestation artistique nous permet d’ouvrir les portes du temple au grand public, celui qui fréquente peu les églises.

Les paroissiens de l’église accueilleront les visiteurs de l’exposition et répondront à leur questions sur le lieu en lui même, le culte du dimanche matin, pourquoi il  a des instruments de musique et comment nous vivons notre foi en Jésus….[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][vc_column width= »1/4″][vc_empty_space][vc_empty_space][vc_images_carousel images= »4005,4006,4007,4008,4009″ img_size= »medium »][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

Broken, du brisement à la réparation. Ateliers d’artistes de Belleville : Tout doit apparaître. Exposition du vendredi 24 au lundi 27 mai de 14 heures à 20 heures. Entrée libre.

Contact presse : Eglise protestante-unie de Paris-Belleville contact@epubelleville.fr[/vc_column_text][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image= »3955″ img_size= »large » alignment= »center »][vc_empty_space][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][/vc_column][/vc_row]

Vivre la semaine de Pâques avec l’EPUdF de Paris Belleville.

[vc_row][vc_column][vc_column_text]Nous sommes dans les derniers jours du Carême.
Dans la lecture de la Bible et dans la prière, nous nous sommes préparés à vivre ces jours où nous faisons mémoire de la mort du Christ, puis de sa résurrection !
En Eglise, nous célébrerons plusieurs temps forts :
Jeudi 18 avril de 19h30 à 20h30 : culte du jeudi saint.
Vendredi 19 avril de 19h30 à 20h30 : culte du vendredi saint.
Dimanche 21 avril :
• à 6h45, aube de Pâques (rue Piat, au Belvédère du Parc de Belleville), temps de louange et de prière pour l’annonce de la Résurrection de Jésus.
• à 10h, culte de la Résurrection.
• à 12h, repas fraternel : chacun apporte un bon plat à partager ![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row]

Que celui qui croit être debout prenne garde

« Ainsi donc, que celui qui croit être debout prenne garde de tomber! » 1 Cor 10 :12

Plus le temps passe, plus je réalise combien l’équilibre qui est le nôtre est fragile. Et j’observe aussi les mécanismes qui sont mis en place pour maintenir cet équilibre !

Un piège immense se trouve là devant nous : la toute-puissance ! Plutôt que d’accepter notre vulnérabilité, nous voulons compenser en érigeant un système de protection qui nous permettrait de contrôler notre vie.

En d’autres termes, Dieu nous demande d’être dépendants de Lui. Cela nécessite de rester à l’écoute de Sa Parole et d’accepter, dans l’Eglise cette interdépendance de nos frères et sœurs. Entre Dieu, Sa Parole et le Corps de Christ, il y a une protection. Cette « couverture » nous évite de nous fabriquer nos propres règles et d’entrer dans une déviance faite de « Il faut » et de « On doit ». Ces « propres règles » qui deviendraient à coup sûr une forme de religiosité.

La religiosité ressemble à la piété, mais l’objet central n’est pas le Seigneur.

Elle est dangereuse parce qu’elle a l’enveloppe de la piété sans en avoir le cœur.

Les gens religieux sont toujours très sincères. Ils sont sincèrement dans l’erreur.

Je peux être très sincère en ayant fait de la Bible mon idole. Cela m’empêche, alors, d’écouter la parole que Dieu veut m’adresser au travers de mes frères !

Je peux être très sincère en ayant fait de la prière mon idole. Je perds alors la paix, lorsque pendant  plusieurs jours je reste sans vivre mon heure quotidienne de prière. Je me sens alors condamnée et cela me prive de ma liberté en Dieu.

Je peux être très sincère en m’appuyant sur ma connaissance et toutes les formations que j’ai suivies, les études bibliques que j’ai faites. Si c’est le cas, mon salut ne vient plus de Jésus mais de ce savoir que j’ai engrangé !

Je n’écris pas sur ce sujet pour faire un exposé complet, car cela semble impossible tant ce thème est variable selon la sensibilité des uns et des autres. Mais j’écris pour que nous restions ouverts à ce que Dieu veut faire dans son Eglise en veillant chacun sur son cœur, sur ses attitudes, sur ce qui nous permet de garder notre équilibre.

Le danger  qui vient avec la religiosité c’est un esprit religieux. Lorsque cet esprit mauvais s’installe en nous, il fera tout pour garder sa place en se débrouillant pour nous aveugler du mieux possible. Cet esprit comme tous les autres de sa famille est méchant. Il engendre des souffrances pour celui qui l’héberge tout comme pour ceux que fréquente cette personne.

« Ainsi donc, que celui qui croit être debout prenne garde de tomber! » 1 Cor 10 :12

 

 

Témoignages de participants à la formation Aux marges !

[vc_row][vc_column][vc_column_text]Aux marges ! a été conçu pour servir et faire un travail de terrain auprès des communautés pauvres et marginalisées. Il rassemble les dimensions de la Parole, de l’Esprit et de la rue de manière à encourager et continuer à équiper les participants désirant vivre et partager un Évangile de libération avec les exclus de la société.

Cette formation comprend des enseignements et de la pratique à la fois charismatiques/évangéliques et de justice sociale avec le désir de rassembler des parties qui n’auraient jamais dû être séparées.

Chaque module comprend enseignement, louange, réflexion pratique, temps de ministère et discussion en groupes. Les repas sont partagés, c’est une occasion favorable à la construction des relations et au partage de l’enseignement.

Voici trois témoignages de participants :[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »3/4″][vc_custom_heading text= »Nelly »][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_custom_heading text= »Qu’est-ce qui t’a motivé pour suivre la formation « AUX MARGES » ? » font_container= »tag:h3|font_size:23px|text_align:left » google_fonts= »font_family:Merriweather%3A300%2C300italic%2Cregular%2Citalic%2C700%2C700italic%2C900%2C900italic|font_style:300%20light%20italic%3A300%3Aitalic »][vc_column_text]

Il a toujours été  important à mes yeux d’avoir un impact positif envers les personnes qui subissent la marginalisation. Rien ne peut se faire sans le message d’amour, de joie et de salut de Christ. Ce qui m’a poussée à faire cette formation vient tout droit d’une conviction que le Seigneur m’a donnée et que j’ai portée dans la prière. En suivant cette formation, l’appel que j’avais ressenti s’est confirmé.

[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_custom_heading text= »Quels sont les sujets qui t’ont le plus interpellée durant ces quatre jours? » font_container= »tag:h3|font_size:23px|text_align:left » google_fonts= »font_family:Merriweather%3A300%2C300italic%2Cregular%2Citalic%2C700%2C700italic%2C900%2C900italic|font_style:300%20light%20italic%3A300%3Aitalic »][vc_column_text]Les sujets qui m’ont le plus touchée sont :  la guérison de l’âme et qui est Dieu le Père.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_custom_heading text= »Qu’est-ce que ça va changer dans le service qui est le tien ? » font_container= »tag:h3|font_size:23px|text_align:left » google_fonts= »font_family:Merriweather%3A300%2C300italic%2Cregular%2Citalic%2C700%2C700italic%2C900%2C900italic|font_style:300%20light%20italic%3A300%3Aitalic »][vc_column_text]La formation dispensée par Bob et Gracie Ekblad m’a plus que jamais motivée à œuvrer auprès des personnes aux marges de la société et pourquoi pas participer à des missions avec leur association.[/vc_column_text][vc_separator][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_single_image image= »3855″ img_size= »large »][/vc_column][vc_column width= »1/4″][stm_sidebar sidebar= »527″][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »3/4″][vc_custom_heading text= »Sébastien »][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_custom_heading text= »Qu’est-ce qui t’a motivé pour suivre la formation « AUX MARGES » ? » font_container= »tag:h3|font_size:23px|text_align:left » google_fonts= »font_family:Merriweather%3A300%2C300italic%2Cregular%2Citalic%2C700%2C700italic%2C900%2C900italic|font_style:300%20light%20italic%3A300%3Aitalic »][vc_column_text]La Seigneur a commencé à placer un fardeau sur mon coeur pour les gens qui sont aux marges de la société il y a quelques années en arrière, les marges du bas en particulier. Ayant lu les deux premiers livres de Bob, je ne voulais pas rater cette occasion.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_custom_heading text= »Quels sont les sujets qui t’ont le plus interpellé durant ces 4 jours ? » font_container= »tag:h3|font_size:23px|text_align:left » google_fonts= »font_family:Merriweather%3A300%2C300italic%2Cregular%2Citalic%2C700%2C700italic%2C900%2C900italic|font_style:300%20light%20italic%3A300%3Aitalic »][vc_column_text]Le premier touche à l’image de Dieu avec laquelle nous fonctionnons au niveau du cœur. Dans la Genèse, le premier commandement du Dieu créateur à Adam et Ève, n’est pas « ne mange pas de l’arbre de la connaissance… » mais « mange, mange » de tout le reste. Dieu est un Dieu bienveillant et bénissant, pas un Dieu qui se sent menacé et qui donc chercherait à contrôler Ses créatures. Ensuite, en parallèle avec ce premier élément, vient tout ce qui touche à la guérison de l’image du père et de la mère basée sur les expériences dans le contexte familial. Renoncer aux fausses images pour embrasser la vérité qui rend libre au niveau du cœur. Dernièrement, la section sur le nationalisme et les puissances m’a beaucoup parlé de par notre expérience en Turquie où le nationalisme quel qu’il soit, avec d’autres composantes, produit des choses désastreuses entre les peuples, choses auxquelles ceux qui s’engagent à suivre Jésus en tant que disciples doivent renoncer pour vivre comme des citoyens du Royaume.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_custom_heading text= »Qu’ est ce que ça va changer dans le service qui est le tien ? » font_container= »tag:h3|font_size:23px|text_align:left » google_fonts= »font_family:Merriweather%3A300%2C300italic%2Cregular%2Citalic%2C700%2C700italic%2C900%2C900italic|font_style:300%20light%20italic%3A300%3Aitalic »][vc_column_text]Pour le moment, il y a tout un changement qui est en train de s’opérer dans ma tête par rapport à l’application de ces choses, un changement de paradigme. Je désire mettre en pratique tout ce que j’ai appris ces deux derniers modules, que ce soit dans le contexte de notre ministère parmi les groupes turcophones ou avec les gars avec qui j’ai contact au marché de Corbeil-Essonnes (un groupe d’hommes dont la plupart sont soit anciens détenus, alcooliques ou sans-abris) . Je vois clairement la pertinence de tout ce que j’apprends mais je ressens le besoin de pouvoir suivre quelqu’un qui le met en pratique devant moi. Pour le moment, j’ai reçu une super base théorique (et tout à fait nécessaire) mais j’aimerais apprendre à pouvoir l’appliquer dans le contexte des relations que le Seigneur nous a données. Comment est-ce que je m’y prends dans la pratique ?.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][vc_column width= »1/4″][stm_sidebar sidebar= »527″][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column width= »3/4″][vc_custom_heading text= »Marie-Caroline »][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_custom_heading text= »Qu’est-ce qui t’a motivée pour suivre la formation « AUX MARGES » ? » font_container= »tag:h3|font_size:23px|text_align:left » google_fonts= »font_family:Merriweather%3A300%2C300italic%2Cregular%2Citalic%2C700%2C700italic%2C900%2C900italic|font_style:300%20light%20italic%3A300%3Aitalic »][vc_column_text]J’ai décidé de faire la formation Aux marges parce que je suis impliquée dans le service diaconal de l’église. C’est pour moi l’occasion d’approfondir mes compétences bibliques et de me laisser équiper par le Seigneur pour travailler avec cette population dite « exclue » de la société.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_custom_heading text= »Quels sont les sujets qui t’ ont le plus interpellée durant ces quatre jours ? » font_container= »tag:h3|font_size:23px|text_align:left » google_fonts= »font_family:Merriweather%3A300%2C300italic%2Cregular%2Citalic%2C700%2C700italic%2C900%2C900italic|font_style:300%20light%20italic%3A300%3Aitalic »][vc_column_text]C’est au cours du deuxième module où j’ai été vraiment interpellée par le Seigneur. Je réalise que si nous ne donnons pas au Seigneur la possibilité de nous libérer, guérir (corps, âme et esprit) nous ne pouvons pas aider les autres. Le Seigneur a continué à me parler à travers de l’enseignement sur « le coeur de Dieu en tant que Père ». Il m’a fait comprendre que la « guérison des blessures de la mère » est aussi un processus très important dans notre guérison intérieure.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][vc_row_inner][vc_column_inner][vc_custom_heading text= »Qu’est-ce que ça va changer dans le service qui est le tien ? » font_container= »tag:h3|font_size:23px|text_align:left » google_fonts= »font_family:Merriweather%3A300%2C300italic%2Cregular%2Citalic%2C700%2C700italic%2C900%2C900italic|font_style:300%20light%20italic%3A300%3Aitalic »][vc_column_text]Cette formation est l’occasion pour le Seigneur de changer mon regard sur l’autre, celui qui est exclu. Je réalise que celui-ci est aussi formé à l’image du Dieu créateur. Il est important de se laisser guérir, transformer par le Seigneur pour qu’on soit efficace dans Son Royaume.[/vc_column_text][/vc_column_inner][/vc_row_inner][/vc_column][vc_column width= »1/4″][stm_sidebar sidebar= »527″][/vc_column][/vc_row]

Un chant né dans l’église de Belleville : Ouvrez les portes, annoncez le Roi

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Le 28 octobre 2018, notre église accueillait les équipes de télévision de l’émission Présence protestante sur France 2.  Le temps de culte diffusé en direct a commencé avec un premier chant : Ouvrez les portes, annoncez le Roi.

Sa compositrice Judith Ann Robertson nous raconte l’histoire de ce chant, né dans l’église de Belleville et enregistré en 1993 .

 

Vous pouvez le retrouver dans le recueil J’aime l’éternel 2 de Jeunesse en mission, il s’agit du chant 539 :

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[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

Ouvrez les portes, annoncez le Roi
Et laissez Jésus entrer.
Ouvrez les portes et ouvrez vos cœurs,
Il vient avec majesté.

Ouvrez les portes à celui qui vient au nom du Seigneur,
Ouvrez les portes à celui qui est le Dieu vainqueur.

Ouvrez les portes à celui qui tient les clés de la vie.
Ouvrez les portes et les pauvres seront affranchis.

Ouvrez les portes à celui qui est le consolateur.
Ouvre les portes à celui qui veut sonder nos cœurs.

Ouvrez les portes au Seigneur et dressez-y vos bannières,
Aplanissez vos sentiers et enlevez les pierres.

[/vc_column_text][vc_separator][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

« Le chant « Ouvrez les portes » (… annoncez le roi …) est directement inspiré d’une parole donnée dans un contexte bien précis. Nous sommes au début des années 90. Le temple de Belleville existe depuis un siècle. Il compte alors une trentaine de membres, principalement des Français métropolitains de « classe moyenne » – de jeunes actifs, des étudiants y compris un normalien très actif, des personnes à la retraite. L’église est soutenue depuis quelque temps par l’équipe de Jeunesse en Mission, basée dans ses bureaux de la rue Rébéval, à 100 mètres de là.

[/vc_column_text][vc_column_text]Ce mardi matin, l’équipe de Jeunesse en Mission est accueillie dans le temple pour prier. Pendant la réunion, quelqu’un se lève et lit le psaume 24 « Portes, élevez vos linteaux, élevez-vous, portails éternels. Que le roi de gloire fasse son entrée ! »

L’équipe prie, proclamant ces versets à haute voix. Elle s’avance vers les grandes portes, les ouvre,  lit à haute voix et à plusieurs reprises le psaume, puis referme les portes et conclut la réunion peu de temps après.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image= »2381″ img_size= »large » alignment= »center »][vc_separator][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

Le dimanche suivant, l’orateur, qui représentait La Ligue pour la lecture de la Bible, monte sur l’ estrade pour prêcher. Il demande à un volontaire : «  Merci d’aller au fond, vers  le portail en verre à l’intérieur des grandes portes. A mon signal, tu l’ouvriras, et toute l’assemblée proclamera : Voici le roi !  Nous le ferons trois fois ».

Le volontaire s’exécute et l’assemblée proclame « Voici le roi ! » trois fois, tandis que l’équipe de Jeunesse en Mission, ébahie, se regarde, en reconnaissant que Dieu avait donné une parole forte pour Belleville (il va de soi que nous n’avions rien dit à l’orateur).

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text][/vc_column_text][vc_column_text]

Le chant que j’ai composé a été chanté dans le temple et dans les rues de Belleville, puis dans d’autres rues de Paris lors de la Marche pour Jésus.  Il a  fait le tour du monde francophone, figurant sur le prochain CD de Jeunesse en Mission et beaucoup d’autres, repris dans les recueils de chants.

[/vc_column_text][vc_column_text]

Cette parole a été donnée, je crois, pour Belleville, en entier. Tout d’abord, pour l’église, qui a grandi de 30 à 400 personnes sur une décennie, sa croissance s’élevant même de 30 à 100 personnes « d’un coup » au début d’une année.

Mais aussi pour le quartier qui l’entoure. L’histoire de l’église de Belleville est étroitement liée à celle de ce quartier, au service duquel elle est née, à la fin du dix-neuvième siècle.

[/vc_column_text][vc_column_text][/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

Quand j’ai lutté pour le composer, faisant appel à Rémi, le jeune normalien, pour boucler les paroles du dernier couplet, ni lui, ni moi aurait pu imaginer que ce chant serait tellement chanté.

Mais avant tout, il est fait pour être chanté au bénéfice de cette terre, sur laquelle le temple est construit, ce quartier jadis populaire, maintenant en voie de gentrification, mais où se cache encore la semence de la blessure, de la rébellion, du refus de se laisser opprimer.

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Disons haut et fort à Belleville «  Portes, élevez vos linteaux, élevez-vous, portails éternels. Que le roi de gloire fasse son entrée. »

 

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image= »2329″ img_size= »large » alignment= »center »][/vc_column][/vc_row]